Déficit foncier : de quoi s’agit-il ?

Si vous avez des biens immobiliers que vous aviez mis en location, alors sachez que message s’adresse à vous. En effet il est probable qu’un jour arrive et que vous vous retrouviez en situation de déficit foncier. Apprenez davantage sur cette situation dans cet article.

Qu’entend-t-on par déficit foncier ?

En terme simple, retenez qu’on parle de déficit foncier lorsqu’un détenteur d’un bien immobilier ne gagne rien s’il fait la différence entre ce qu’il a investi et ce qu’on lui paye comme le loyer. Pour mieux comprendre davantage rendez-vous sur http://www.avranches-immobilier.com

Comment savoir si vous êtes en déficit foncier ?

Pour le savoir, vous devez d’abord déterminer votre déficit foncier en :

  • Connaissant la somme de vos revenus bruts sur location, la somme de vos intérêts sur emprunt et aussi les coûts de vos différentes charges,
  • Défalquant les charges qui proviennent des revenus bruts et des intérêts de vos emprunts. Lorsque vous faites la différence et que vous avez une valeur négative, on dira que vous êtes en déficit foncier. Dans ce cas, retenez qu’on va déduire le déficit de vos revenus fonciers pour les années qui suivront.
  • imputant d’autres frais sur les revenus totaux de vos différentes charges. Il en est de même concernant les intérêts. Si après calcul, on constate que votre résultat foncier est au-delà de la ligne dangereuse. Alors il est possible de faire une déduction de votre revenu global. Notez que cette soustraction ne dépassera pas les 10 700€. En cas de surplus, une défalcation vous sera appliquée au fil des années qui suivent.

Quelles sont donc les exigences en cas de déficit foncier ?

Lorsque vous êtes en déficit foncier, deux obligations vous sont proposées. La première est l’imputation de vos revenus. En tant propriétaire, on vous impose sous un régime concret et ce, en fonction de ses revenus fonciers. Deuxièmement, on vous obligera à mettre votre bien immobilier en location. Et ce, pour une durée de trois années au moins.